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GAME OVER - TOME 1 - BLORK RAIDER

GAME OVER - TOME 1 - BLORK RAIDER

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Categories : DUPUIS , DUPUIS "TOUS PU

MIDAM/THIRIET/ADAM

Description :

Quand Kid Paddle, Big Bang et Horace s'enferment pour passer la nuit à jouer sur leur console de jeu, on se doute qu'ils vont vivre quelques heures particulièrement éprouvantes. Au menu : TOUS les jeux dont le petit barbare est le héros. Des heures de stress et de coups fourrés en perspective ! Car le petit héros numérique va devoir affronter les pires ennemis jamais croisés dans un jeu vidéo : les infâmes et redoutables Blorks, qui le poursuivent inlassablement jusqu'au GAME OVER final.

4e de couverture :

Quand une série fait des petits...

Notes Biographiques :

Michel Ledent, alias Midam, voit le jour en 1963 dans la commune bruxelloise d'Etterbeek. Enfant, il adore les monstres et rêve de devenir camionneur pour pouvoir travailler la nuit et écouter l'émission radio « Les routiers sont sympas » dans son « 30 tonnes ». Il aime lire des histoires courtes fantastiques et de science-fiction. L'intérêt qu'il porte à la BD est déjà présent et en 1977, il réalise à 14 ans sa première planche à l'encre de Chine en hommage à la BD Chronique d'extraterrestres de Jacques Devos.

À 18 ans, il se tourne vers des spécialités artistiques, d'abord en architecture d'intérieur puis en photographie. C'est finalement en illustration qu'il décroche un diplôme à Saint-Luc, célèbre école de la capitale belge. Malgré son attrait pour la BD, il se sent plus libre et plus à l'aise en classe d'illustration. Il se familiarise, entre autres, avec la 3D en créant des marionnettes en latex dans un décor de type Dark Crystal qui révèlent déjà sa propension à représenter des monstres.

Ses études terminées, Midam fait son service militaire dans la Force Navale Belge en tant que dessinateur-décorateur. Il est également le caricaturiste officiel de la base et chaque mois, il produit une caricature en guise de cadeau pour un officier prenant sa retraite. S'ensuivent des années de galère et de petites commandes pour diverses revues et journaux. Sa première publication date d'avril 1988 pour un petit journal local nommé Rigoletto et des planches pour une série intitulée Sacred Cadres, commandée par le journal professionnel Intermédiaire, dans laquelle l'influence de Franquin des Idées Noires se fait sentir.

Suivant les conseils d'un gérant de librairie, il envoie une bonne centaine de dossiers à des magazines. Si la majorité lui adresse un refus poli, il reçoit néanmoins une dizaine de réponses positives, dont celle du magazine informatique français Micro-Systèmes pour lequel il fera des centaines de dessins et surtout celle du Journal Spirou. Dès 1992, Midam anime diverses rubriques dans le journal (à partir du N°2831). Pour un auteur débutant, c'est l'opportunité de s'essayer à la BD et tester sa réactivité.

En 1993, Midam renouvelle la rubrique consacrée aux jeux vidéo du Journal Spirou et crée le personnage de Kid Paddle. La rubrique devient « Pas de joystick pour Kid Paddle ». Devant l'enthousiasme des lecteurs, le rédacteur en chef l'invite à passer à la pleine page. En 1996, le premier album de Kid Paddle « Jeux de vilains » voit le jour. Le succès s'installe durablement.

Bien que Midam ne soit pas féru de jeux vidéo, l'univers de Kid Paddle (et de Game Over qui en découle) est intimement lié à ceux-ci. Se connaissant parfaitement, Midam savait que s'il se laissait tenter par cet univers, il risquait de devenir un véritable « gamer » et courait le risque de ne s'adresser qu'à un public restreint. En gardant une certaine distance par rapport à ce monde du jeu, il reste compréhensible pour le commun des mortels. La série Kid Paddle se décline à ce jour en 16 tomes. Depuis la parution du premier tome, plus de 10 millions d'albums de Kid Paddleont été vendus en langue française, et des centaines de produits dérivés ont été créés à son effigie. Le succès de Kid Paddlegrandit et avec lui l'envie d'exploiter le personnage sur d'autres supports. Midam fonde en 2000 la société Midam Productions qui supervise la gestion des droits dérivés. Naîtront ainsi notamment Kid Paddle Magazine et des épisodes de dessin animé qui seront diffusés dans plus d'une vingtaine de pays.

En 2003, dans le but de remplir les pages de Kid Paddle magazine, Midam crée une série « spin off » intitulée « Game Over » qui met en scène l'avatar virtuel de Kid Paddle : « le petit barbare ». Par l'intermédiaire de Dupuis, Midam fait un appel d'offres pour être secondé sur cette nouvelle série. Il reçoit une dizaine d'essais et son choix se porte finalement sur Adam.

En 2007, Midam crée le personnage de Grrreeny, petit tigre écolo devenu vert après avoir nagé dans un lac contaminé par la radioactivité. Cette série cultive le même humour trash et un côté « politiquement incorrect ». Parue d'abord sous forme d'un livre illustré intitulé « Sors tes griffes pour ta planète » en 2010 à l'occasion de la Journée Mondiale de la Biodiversité, Grrreeny a poursuivi sa carrière dans quatre albums de BD. Midam fonde en 2009 sa propre structure d'édition et de gestion de droits dérivés : Mad Fabrik. Cette période est pour Midam la plus productive : sans les contraintes externes, il maîtrise désormais toutes les étapes de la réalisation d'un album, mais en assume aussi la charge et le poids de soutenir une équipe uniquement grâce à sa productivité artistique. Le travail est tel qu'il fait travailler trois autres dessinateurs sur la série Game Over pour soulager Adam. Cette aide est ponctuelle et se limite finalement à un nombre restreint de planches. Souhaitant prendre de nouvelles orientations professionnelles, la structure Mad Fabrik est revendue aux Éditions Glénat. Depuis 2014, Midam se concentre à nouveau sur son travail créatif, tout en gardant une petite équipe au sein de Midam Productions. En 2019, l'auteur retourne chez Dupuis, son éditeur historique.

Depuis quelques années, Midam consacre davantage de temps à un travail qu'il apprécie particulièrement : la création d'illustrations en couleurs directes. Libéré de la nécessité du « gag » et de la succession de cases, l'artiste peut se consacrer pleinement au dessin et laisser libre cours à son imagination. Il explore l'univers des monstres, des Blorks, et leur donne forme sur différents supports. Il réalise des sculptures, crée d'impressionnantes toiles de blork « fossilisés », et revisite les emblèmes et marques publicitaires des États-Unis avec humour. Avec la série New Blork City, les Blorks s'approprient l'âme de l'Amérique et chacun d'eux nous offre un moment de rire et/ou de contemplation. En perpétuelle recherche et création, Midam ne cesse de se renouveler et de repousser les limites de l'art et de la créativité. Michel Ledent, alias Midam, voit le jour en 1963 dans la commune bruxelloise d'Etterbeek. Enfant, il adore les monstres et rêve de devenir camionneur pour pouvoir travailler la nuit et écouter l'émission radio « Les routiers sont sympas » dans son « 30 tonnes ». Il aime lire des histoires courtes fantastiques et de science-fiction. L'intérêt qu'il porte à la BD est déjà présent et en 1977, il réalise à 14 ans sa première planche à l'encre de Chine en hommage à la BD Chronique d'extraterrestres de Jacques Devos.

À 18 ans, il se tourne vers des spécialités artistiques, d'abord en architecture d'intérieur puis en photographie. C'est finalement en illustration qu'il décroche un diplôme à Saint-Luc, célèbre école de la capitale belge. Malgré son attrait pour la BD, il se sent plus libre et plus à l'aise en classe d'illustration. Il se familiarise, entre autres, avec la 3D en créant des marionnettes en latex dans un décor de type Dark Crystal qui révèlent déjà sa propension à représenter des monstres.

Ses études terminées, Midam fait son service militaire dans la Force Navale Belge en tant que dessinateur-décorateur. Il est également le caricaturiste officiel de la base et chaque mois, il produit une caricature en guise de cadeau pour un officier prenant sa retraite. S'ensuivent des années de galère et de petites commandes pour diverses revues et journaux. Sa première publication date d'avril 1988 pour un petit journal local nommé Rigoletto et des planches pour une série intitulée Sacred Cadres, commandée par le journal professionnel Intermédiaire, dans laquelle l'influence de Franquin des Idées Noires se fait sentir.

Suivant les conseils d'un gérant de librairie, il envoie une bonne centaine de dossiers à des magazines. Si la majorité lui adresse un refus poli, il reçoit néanmoins une dizaine de réponses positives, dont celle du magazine informatique français Micro-Systèmes pour lequel il fera des centaines de dessins et surtout celle du Journal Spirou. Dès 1992, Midam anime diverses rubriques dans le journal (à partir du N°2831). Pour un auteur débutant, c'est l'opportunité de s'essayer à la BD et tester sa réactivité.

En 1993, Midam renouvelle la rubrique consacrée aux jeux vidéo du Journal Spirou et crée le personnage de Kid Paddle. La rubrique devient « Pas de joystick pour Kid Paddle ». Devant l'enthousiasme des lecteurs, le rédacteur en chef l'invite à passer à la pleine page. En 1996, le premier album de Kid Paddle « Jeux de vilains » voit le jour. Le succès s'installe durablement.

Bien que Midam ne soit pas féru de jeux vidéo, l'univers de Kid Paddle (et de Game Over qui en découle) est intimement lié à ceux-ci. Se connaissant parfaitement, Midam savait que s'il se laissait tenter par cet univers, il risquait de devenir un véritable « gamer » et courait le risque de ne s'adresser qu'à un public restreint. En gardant une certaine distance par rapport à ce monde du jeu, il reste compréhensible pour le commun des mortels. La série Kid Paddle se décline à ce jour en 16 tomes. Depuis la parution du premier tome, plus de 10 millions d'albums de Kid Paddleont été vendus en langue française, et des centaines de produits dérivés ont été créés à son effigie. Le succès de Kid Paddlegrandit et avec lui l'envie d'exploiter le personnage sur d'autres supports. Midam fonde en 2000 la société Midam Productions qui supervise la gestion des droits dérivés. Naîtront ainsi notamment Kid Paddle Magazine et des épisodes de dessin animé qui seront diffusés dans plus d'une vingtaine de pays.

En 2003, dans le but de remplir les pages de Kid Paddle magazine, Midam crée une série « spin off » intitulée « Game Over » qui met en scène l'avatar virtuel de Kid Paddle : « le petit barbare ». Par l'intermédiaire de Dupuis, Midam fait un appel d'offres pour être secondé sur cette nouvelle série. Il reçoit une dizaine d'essais et son choix se porte finalement sur Adam.

En 2007, Midam crée le personnage de Grrreeny, petit tigre écolo devenu vert après avoir nagé dans un lac contaminé par la radioactivité. Cette série cultive le même humour trash et un côté « politiquement incorrect ». Parue d'abord sous forme d'un livre illustré intitulé « Sors tes griffes pour ta planète » en 2010 à l'occasion de la Journée Mondiale de la Biodiversité, Grrreeny a poursuivi sa carrière dans quatre albums de BD. Midam fonde en 2009 sa propre structure d'édition et de gestion de droits dérivés : Mad Fabrik. Cette période est pour Midam la plus productive : sans les contraintes externes, il maîtrise désormais toutes les étapes de la réalisation d'un album, mais en assume aussi la charge et le poids de soutenir une équipe uniquement grâce à sa productivité artistique. Le travail est tel qu'il fait travailler trois autres dessinateurs sur la série Game Over pour soulager Adam. Cette aide est ponctuelle et se limite finalement à un nombre restreint de planches. Souhaitant prendre de nouvelles orientations professionnelles, la structure Mad Fabrik est revendue aux Éditions Glénat. Depuis 2014, Midam se concentre à nouveau sur son travail créatif, tout en gardant une petite équipe au sein de Midam Productions. En 2019, l'auteur retourne chez Dupuis, son éditeur historique.

Depuis quelques années, Midam consacre davantage de temps à un travail qu'il apprécie particulièrement : la création d'illustrations en couleurs directes. Libéré de la nécessité du « gag » et de la succession de cases, l'artiste peut se consacrer pleinement au dessin et laisser libre cours à son imagination. Il explore l'univers des monstres, des Blorks, et leur donne forme sur différents supports. Il réalise des sculptures, crée d'impressionnantes toiles de blork « fossilisés », et revisite les emblèmes et marques publicitaires des États-Unis avec humour. Avec la série New Blork City, les Blorks s'approprient l'âme de l'Amérique et chacun d'eux nous offre un moment de rire et/ou de contemplation. En perpétuelle recherche et création, Midam ne cesse de se renouveler et de repousser les limites de l'art et de la créativité. Né le 15 novembre 1958 à Trèves, en Allemagne, Jean-Michel Thiriet décroche le bac, puis passe trois mois dans une école des Beaux-Arts où il finit pas découvrir qu'il n'y existe pas de section bande dessinée! Il met longtemps à s'en remettre et accomplit ses premiers tâtonnements graphiques dans LE PETIT PSIKOPAT ILLUSTRÉ. En 1985, son premier album au titre révélateur de ses désirs les plus secrets paraît aux éditions du Lynx : "Riche et célèbre" ne le rendra ni l'un ni l'autre. Rédacteur à "Fluide-Glacial" de 1987 à 1993, il inonde ce mensuel de brèves histoires absurdes et délirantes, recueillies en volumes chez Audie ("Histoires peu crédibles", "Contes d'à-côté", "Trois tiers de trio" et "Trois tiers de trio dans l'espace"), puis à L'Association ("Verte campagne"). Il collabore en parallèle aux sketchs des "Nuls", ainsi qu'aux "Nouvelles de Jules-Édouard Moustic" sur Canal +, en 1993. Recruté par le journal de SPIROU dans la plus récente nouvelle vague de collaborateurs de cette vénérable institution, il s'y implante à la fois comme dessinateur et scénariste, multipliant sommaires, cartoons et animations désopilantes. Avec Manu Larcenet, il démontre régulièrement dans la collection "Humour Libre" que "La Vie est courte" et qu'il est préférable d'en rire. Son passe-temps préféré, outre la guitare, l'harmonica et la basse, est de rendre visite aux chats des cimetières. Né à Nice le 5 janvier 1963, le petit Philippe Bercovici est repéré à l'âge de treize ans par Raoul Cauvin, auquel il était venu soumettre ses œuvres lors d'une séance de dédicaces. Il publie immédiatement dans la rubrique Carte Blanche du Journal Spirou, avant d'investir les pages d'animation du célèbre hebdo au calot. Cauvin lui propose ensuite - l'année de ses 15 ans ! - d'illustrer « Les Grandes Amours contrariées », série lui permettant de revisiter les romances les plus mythiques de l'Histoire et de la littérature. Philippe Bercovici profite de ces premières expériences pour développer un dessin souple, efficace et dynamique. Un style à nul autre pareil partant du cartoon pour aboutir à une nouvelle forme de narration BD, par laquelle il peut potentiellement explorer tous les types de récits. La carrière de Bercovici prend une nouvelle dimension en 1981 avec le lancement des « Femmes en blanc », sur un scénario de Cauvin, série extrêmement populaire accédant rapidement au statut de best-seller. 41 tomes sont parus aux Éditions Dupuis et « Les Femmes en blanc », série multi-récompensée en festival, s'est vue honorée en 2014 d'un mur BD à Bruxelles. Le parcours de Philippe ne saurait toutefois se résumer à sa série la plus emblématique, puisqu'on lui doit également plusieurs dizaines d'autres séries, one shot ou travaux pour la presse. Citons « Robinson et Zo頻 (pour le magazine Gomme à partir de 1982), « Kostar le Magnifique » (pour le magazine Circus, 1984), « Barnabé, envoyé spécial » et « Big Bang Orchestra » (dans Je bouquine), le « Grand Panic Circus » chez Pif gadget, « Testar le Robot » (chez Fleurus) ou encore « Téléfaune » (pour Dargaud en 1993), autant d'univers scénarisés par François Corteggiani. Avec Yann, Bercovici anime les aventures très soviétiques de « Leonid et Spoutnika » chez Marsu-Productions. François Gilson lui écrit pour sa part les gags de « Cactus Club » - une satire délirante des clubs de vacances ? pendant que Gerrit de Jager lui écrit « Eve et Adam », série à destination du marché hollandais. Sous le pseudonyme de « Thelonius », Bercovici illustre également les cent premiers gags du « Boss », série où l'infâme Zidrou tourne en ridicule le très respectable rédacteur en chef du Spirou de l'époque. Vite reconnu à son style inégalable et à la vitesse où il envoie ses planches (une heure après en avoir reçu le scénario) « Berco » continuera finalement cette série sous son nom. On peut également signaler, parmi ses dernières productions les plus notables, La véritable histoire vraie de Robespierre (Dupuis), L'incroyable histoire de la médecine (scénario de Jean-Noel Fabiani) ainsi que L'incroyable histoire de la littérature (scénario de Catherine Mory), tous deux parus chez Les Arènes. Considéré comme le dessinateur le plus rapide de toute la profession ? il a illustré à lui seul tout un numéro du Journal Spirou en 1993 ? Philippe Bercovici possède un trait nerveux et plein de vie, immédiatement identifiable et capable de donner corps à tous types d'univers. Car si « Les Femmes en blanc » reste sa série la plus emblématique, Bercovici, dont la carrière a commencé alors qu'il n'avait que 13 ans, possède une longue bibliographie pleine de pépites ! Petite biographie d'un petit personnage... Je suis né le 11 août 1969 vers 18h30 à Charleroi. Parcours scolaire normal jusqu'en gardienne, ensuite, les choses se compliquent, je suis mauvais élève et terminerai mes études à 18 ans. Mes trois dernières années scolaires, je les passe aux beaux-arts de Namur où je termine premier de classe en dessin et second en sculpture. Voilà pour ce qui est de l'école. En ce qui concerne le parcours artistique les choses sont un peu différentes. Brossant souvent les cours et me retrouvant souvent seul pendant l'absence de mon père (qui avait ma garde après le divorce de mes parents) je trompe mon ennui en commençant des bandes dessinées à l'âge de douze ans. Ceci en me référant au petit livre jaune de Philippe Vandooren qui contient les interviews de Franquin et Jijé. À 14 ans, je fuis chez ma mère qui m'inscrit au cours de B.D. chez Vittorio Leonardo. J'y passerai 4 ans. Entre-temps je prends des cours de croquis à l'Académie de Charleroi en élève libre. À dix-huit, j'entame des cours de gravure à l'Académie de Namur. De 14 à approximativement 22 ans je passe mes journées, mes soirées et mes week-ends entre l'Académie de Châtelet, celle de Charleroi et celle de Namur. À 18 ans, je commence à travailler en vue de peut-être devenir collaborateur de Batem pour travailler sur le merchandising du Marsupilami. Cette expérience me permet de faire connaissance avec Batem qui avec patience m'apprendra beaucoup de choses... J'ai aussi eu la chance de rencontrer Franquin et de collaborer pour quelques planches avec Yann à l'élaboration de gags avec le Marsu et le petit Noël. Malheureusement, je n'étais pas assez "mûr" et cela ne débouchera sur rien de concret. Cependant, cette expérience m'avait mis l'eau à la bouche et j'envoie mes travaux chez Dupuis et obtiens un rendez-vous avec Patrick Pinchart qui publiera mes premiers dessins dans le Spirou. Ensuite, Philippe Vandooren me mettra en contact avec Denis Lapière et je réaliserai 37 pages d'une B.D. western qui passera dans le journal. Malheureusement, l'entente entre Denis et moi n'était vraiment pas bonne et j'abandonne alors que je travaillais avec lui sur les premières pages de Ludo. Ensuite, j'effectuerai divers travaux alimentaires (dessins animés, guides touristiques et un tout petit passage dans l'atelier de Tome et Janry), je réaliserai quelques B.D. qui ne sortiront jamais de mes cartons et je ferai quelques expos de peinture. Je passerai ensuite trois ans à travailler comme infographiste dans une société namuroise qui réalise des jeux P.C. Je lâche mon boulot en 2000 pour partir 6 mois en Amérique Latine. À mon retour, je trouve un emploi dans un centre culturel latino-américain et je commence mon apprentissage auprès de Midam. Cela fait maintenant bientôt deux ans qu'on travaille ensemble et cela se passe bien. Petite biographie d'un petit personnage... Je suis né le 11 août 1969 vers 18h30 à Charleroi. Parcours scolaire normal jusqu'en gardienne, ensuite, les choses se compliquent, je suis mauvais élève et terminerai mes études à 18 ans. Mes trois dernières années scolaires, je les passe aux beaux-arts de Namur où je termine premier de classe en dessin et second en sculpture. Voilà pour ce qui est de l'école. En ce qui concerne le parcours artistique les choses sont un peu différentes. Brossant souvent les cours et me retrouvant souvent seul pendant l'absence de mon père (qui avait ma garde après le divorce de mes parents) je trompe mon ennui en commençant des bandes dessinées à l'âge de douze ans. Ceci en me référant au petit livre jaune de Philippe Vandooren qui contient les interviews de Franquin et Jijé. À 14 ans, je fuis chez ma mère qui m'inscrit au cours de B.D. chez Vittorio Leonardo. J'y passerai 4 ans. Entre-temps je prends des cours de croquis à l'Académie de Charleroi en élève libre. À dix-huit, j'entame des cours de gravure à l'Académie de Namur. De 14 à approximativement 22 ans je passe mes journées, mes soirées et mes week-ends entre l'Académie de Châtelet, celle de Charleroi et celle de Namur. À 18 ans, je commence à travailler en vue de peut-être devenir collaborateur de Batem pour travailler sur le merchandising du Marsupilami. Cette expérience me permet de faire connaissance avec Batem qui avec patience m'apprendra beaucoup de choses... J'ai aussi eu la chance de rencontrer Franquin et de collaborer pour quelques planches avec Yann à l'élaboration de gags avec le Marsu et le petit Noël. Malheureusement, je n'étais pas assez "mûr" et cela ne débouchera sur rien de concret. Cependant, cette expérience m'avait mis l'eau à la bouche et j'envoie mes travaux chez Dupuis et obtiens un rendez-vous avec Patrick Pinchart qui publiera mes premiers dessins dans le Spirou. Ensuite, Philippe Vandooren me mettra en contact avec Denis Lapière et je réaliserai 37 pages d'une B.D. western qui passera dans le journal. Malheureusement, l'entente entre Denis et moi n'était vraiment pas bonne et j'abandonne alors que je travaillais avec lui sur les premières pages de Ludo. Ensuite, j'effectuerai divers travaux alimentaires (dessins animés, guides touristiques et un tout petit passage dans l'atelier de Tome et Janry), je réaliserai quelques B.D. qui ne sortiront jamais de mes cartons et je ferai quelques expos de peinture. Je passerai ensuite trois ans à travailler comme infographiste dans une société namuroise qui réalise des jeux P.C. Je lâche mon boulot en 2000 pour partir 6 mois en Amérique Latine. À mon retour, je trouve un emploi dans un centre culturel latino-américain et je commence mon apprentissage auprès de Midam. Cela fait maintenant bientôt deux ans qu'on travaille ensemble et cela se passe bien.

Dernier exemplaire disponible

Date de sortie : 03/11/2004

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